Thomas Legrand et Patrick Cohen enregistrés à leur insu : les présidentes de France Télévisions et de Radio France convoquées par l’Arcom

L’autorité de régulation a été saisie, après la diffusion de vidéos de Thomas Legrand et Patrick Cohen avec des dirigeants du Parti socialiste. Les journalistes sont accusés de connivence avec le PS contre la ministre de la culture, Rachida Dati.

           

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Guillaume Bbr je n’exprime que mon point de vue et au contraire des gens de gauche, je ne m’érige en chantre du bien ou en détenteur de LA vérité.
Mais seule prétention est de parler de choses que je connais un minimum.

L’important n’est pas le moyen mais ce qui est dit.
L’important est qu’une preuve flagrante est donnée de ce qui est dit depuis des années : que l’impartialité n’est plus qu’une douce chimère dans les médias publiques.
L’important est que deux moralisateurs de la vie politique ont été pris en flagrant délit de partisanerie.
L’important est que ces propos ont été tenus dans un lieu ouvert au public et donc potentiellement entendables par tous.
L’important est que le même procédé ne gêne pas quand il émane d’Elise Lucet ou de Mediapart (caméra cachées, enregistrement sans avertir la personne en face, etc…) mais qu’il dérange car il émane d’une presse qui vous gêne. Quelle est la différence ? Il n’y en a strictement aucune sauf votre définition de qui est un bon journaliste et qui ne l’est pas.
Quand on en vient à dénoncer la forme c’est qu’on est mal à l’aise avec le fond. Car les faits (puisque vous semblez attacher une importance aux faits et sur ce point nous sommes d’accord) sont clairs et n’induisent aucune possibilité d’erreur d’interprétation : des journalistes du service public, payés avec l’argent de TOUS les Français, sont en mission, au nom de leurs opinions politiques.
Donc vous ne pouvez pas dénoncer des médias de milliardaires qui font de l’information que vous considérez orientée (à raison c’est vrai) et donner un blanc-seing à ces deux journalistes pour leurs propos (et donc à leur manière de faire leur travail de journalistes).
L’information sur le service public doit (enfin devrait) représenter la totalité des opinions et non être défendue et présentée par les croisés de l’opinion.


Edith Bouhadana bien sûr que ça me parle tout autant qu’à vous
Alors pourquoi tomber â bras raccourcis sur deux journalistes qui, en prospection, pour un éventuel reportage qui n’existe pas aujourd’hui, ce font dénoncer par un parti haineux qui lui-même utilise allègrement ses canaux médiatiques à grande diffusion (Bolloré et autres)
Tous les journalistes sont des être humains qui ont le droit de penser comme vous et moi. À leurs directions d’autoriser les articles.
Le droit d’expression existe heureusement en France. Lisez les différents médias écrits, du Figaro â l’humanité l’expression est différente et totalement opposée sur un même sujet. Idem pour les médias TV.




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