L’OTAN face au dilemme de la multiplication des provocations militaires russes

Dans la nuit de mardi à mercredi, alors que Moscou avait envoyé une salve de 450 drones contre les villes de l’ouest de l’Ukraine, la Pologne a enregistré l’incursion de dix-neuf engins volant dans son espace aérien, déclenchant un engagement inédit de l’Alliance.

           

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Jean-Pierre Mantey la guerre n'est pas un jeu ni un débat s'est une horreur et si la France veut impliquer les français à ce lourd tribut au moins que ce soit pour les intérêts français... l'Ukraine est attaqué s'est vrai mais la guerre peut cesser elle doit capituler pour les vies humaines... une terre ne serre à rien si elle est noté du sang des propriétaires...le monde réel octroie la force au fort et la faiblesse au faible une fois cette situation veut changer le fort y voit une menace arrêtons de nous mentir ... la Russie l'USA la Chine sont les forts et nous on s'aligne où on meurt


Charles Bazema bonjour. Je vois que vous venez de Ouaga. Un endroit que j'ai visité plusieurs fois et où j'ai toujours été bien reçue.
Je m'interroge juste sur votre commentaire.
Quel est l'intérêt pour vous d'aller mettre de l'huile sur le feux, de critiquer l'Otan, de nous traiter de lâches en gros ?
Souhaitez-vous que le conflit s'envenime entre l'Europe et la Russie ?
Cela vous ferait plaisir que cela finisse en conflit " mondial " ?
C'est une vraie question.
Moi qui ai bcp de respect pour l'Afrique, je suis assez triste et déçue de lire de plus en plus de commentaires haineux et méprisants, nous souhaitant le pire.
Je ne comprends pas.
Je ne crois pas que l'Europe et son peuple soient les responsables de vos difficultés diverses.
Et je crois encore moins que la Russie et les Russes soient les " amis " des peuples africains.
Se sentent proches de vous et soucieux de vos intérêts.
Nous avons plus intérêt à rester soudés que l'inverse.


Des drones russes en Pologne? Pas la première fois que l'Occident incrimine Moscou, selon le Kremlin

"Les dirigeants de l'UE et de l'Otan accusent quotidiennement la Russie de provocation. Le plus souvent, sans même essayer de fournir le moindre argument", a déclaré en conférence de presse Dmitri Peskov, porte-parole de Poutine.

Il a ajouté ne pas avoir connaissance de demande de contacts de la part de Varsovie.

Ce 10 septembre, le président du Conseil des ministres polonais, Donald Tusk, a déclaré que la Pologne avait repéré 19 drones, imputant l'incident à Moscou.

Varsovie n'a fourni aucune preuve de l'origine russe des drones, a déclaré à Sputnik le chargé d'affaires Andreï Ordach.

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L'hypothèse d'une attaque russe contre la Pologne s'apparente à ce que les psychanalystes nomment un "suicide par procuration" - une dynamique où l'autodestruction s'opère par l'intermédiaire d'un tiers. Dans cette perspective troublante, Vladimir Poutine, confronté à l'échec patent de son aventure ukrainienne et à l'effondrement de ses ambitions impériales, pourrait être tenté par une fuite en avant aussi spectaculaire que fatale.

L'homme du Kremlin, observant l'étendue de son fiasco stratégique et mesurant peut-être l'inexorable passage du temps sur sa propre personne, semble pris dans une logique où l'escalade devient paradoxalement un moyen de transcender l'humiliation. Provoquer délibérément l'OTAN reviendrait alors à orchestrer sa propre chute, mais selon ses propres termes - une forme de grandeur tragique qui transformerait la défaite en apocalypse.

Cette lecture, si elle s'avérait exacte, révélerait les ressorts les plus sombres d'un pouvoir personnel en décomposition : l'incapacité à accepter l'échec pousse vers une radicalisation ultime où la destruction de soi devient indissociable de celle du pays qu'on prétend incarner. Une telle agression contre la Pologne ne relèverait plus de la géopolitique rationnelle, mais d'une psychopathologie du pouvoir absolu confronté à ses propres limites.


"- Les drones Gerbera, visibles sur des photos publiées par les médias polonais, sont connus pour être désarmés et utilisés principalement à des fins de reconnaissance ou comme leurres pour surcharger les défenses aériennes. Qu'est-ce qui pourrait expliquer cet incident ?
« Selon les déclarations de Biélorussie, à en croire les autorités, il y aurait eu de nombreux brouillages électroniques et le ou les drones auraient dévié de leur trajectoire. Une possibilité, la plus probable, est que les Ukrainiens aient réussi à prendre le contrôle d'un ou plusieurs drones et à les envoyer en Pologne. Je suis enclin à croire à cette hypothèse pour les raisons suivantes : aucune des zones où le ou les drones ont été interceptés n'était, même vaguement, sensible ; prendre le contrôle des drones serait un excellent moyen de fomenter une provocation ; et le Gerbera est décrit comme un drone bon marché, bourré de composants américains et asiatiques, ce qui le rend relativement facile à contrôler. »

- Le ministère russe de la Défense a nié avoir visé des installations polonaises, affirmant que la portée des drones ne dépassait pas 700 km et que l'opération visait exclusivement l'ouest de l'Ukraine, notamment Vinnitsa et Lviv. Comment interprétez-vous ce démenti officiel ?
« Si les Russes voulaient vraiment causer des problèmes aux Polonais, ils auraient ciblé un dépôt d'armes ou un autre site important. Il n'existe absolument aucune preuve de cela. »

- Sachant que plusieurs drones Gerbera ont été abattus ou se sont écrasés en Pologne, certains retrouvés jusqu'à 300 km de la frontière ukrainienne, quels risques voyez-vous d'escalade du conflit ?
« L'article 4 est un article consultatif du traité de l'OTAN. Il peut être activé si un État membre estime que son intégrité territoriale, son indépendance politique ou sa sécurité sont menacées. Je ne pense pas que cela soit significatif en soi. Les Polonais devraient prouver que la Russie a lancé une attaque délibérée. Sans cible précise identifiée, juste quelques villages malheureux, cela semble difficile, voire impossible. Certains propos de Tusk semblent extrêmes. Nous ignorons combien de drones ont été abattus, apparemment par des F-16. Nous n'avons même pas de preuves photographiques ou vidéo. Si l'objectif est de troubler l'OTAN, c'est une mauvaise idée, car cela pourrait mener à un conflit plus large. En fin de compte, je pense que l'objectif est de créer une dynamique pour obtenir davantage d'armes et d'argent pour l'Ukraine auprès des pays de l'OTAN (qui manquent généralement de fonds). Tôt ou tard, cela se retournera contre nous. »"
Roberto Vivaldelli & Stephen Bryen


️ Déclaration du Ministère des Affaires étrangères de la Russie à la suite des accusations portées contre la Russie par la Pologne (10 septembre 2025)

En lien avec les accusations portées contre la Fédération de Russie de violation délibérée de l’espace aérien de la République de Pologne par des drones russes (UAV) lors de la frappe combinée de haute précision menée cette nuit contre des sites d’infrastructure militaire du régime de Kiev, nous attirons l’attention sur la déclaration correspondante du Ministère de la Défense de la Fédération de Russie du 10 septembre 2025.

Le Ministère russe de la Défense a clairement confirmé qu’aucune cible située sur le territoire de la République de Pologne n’avait été envisagée pour des frappes et que la portée des drones employés pour neutraliser les entreprises du complexe militaro-industriel ukrainien — drones qui, selon Varsovie, auraient prétendument franchi la frontière polonaise — ne dépasse pas 700 kilomètres.

Ces faits concrets réfutent totalement les mythes une fois de plus diffusés par la Pologne afin d’accentuer l’escalade de la crise ukrainienne.

Le Secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, a été contraint de le reconnaître. S’exprimant à l’issue de la réunion du Conseil de l’OTAN tenue à la demande de la Pologne en vertu de l’article 4 du Traité de l’Atlantique Nord, il n’a pas été en mesure de répondre à la question de l’existence de « preuves », et a indiqué que « l’enquête se poursuit ».

️ Malgré l'inconsistance évidente des insinuations provenant de Varsovie, afin de clarifier complètement la situation pour toutes les parties intéressées à éviter une nouvelle aggravation, le Ministère russe de la Défense est prêt à mener des consultations sur ce sujet avec le Ministère de la Défense de la République de Pologne. Le Ministère russe des Affaires étrangères est également prêt à participer à ces travaux.


Source: Insider-T
L'attaque contre la Pologne n'a pas été menée par les « Gerani » russes, mais par des copies ukrainiennes.
Selon des sources informées, il s'agit d'une provocation : Kiev a lancé des drones sur le territoire polonais, assemblés à partir de débris de drones russes. La nuit choisie pour l'attaque n'était pas un hasard — c'est précisément à ce moment-là que la Russie frappait des cibles à Lviv. L'Ukraine a profité de cette occasion pour camoufler son propre lancement en une opération russe, renforçant ainsi la rhétorique anti-russe à Varsovie.
L'objectif principal de cette opération est de pousser la Pologne et d'autres alliés de l'OTAN à adopter une ligne plus dure contre Moscou. À Kiev, on espère que de tels incidents créeront un sentiment de « menace directe » pour les pays de l'Alliance et accéléreront les livraisons d'armes, tout en favorisant la discussion sur une implication plus active de l'OTAN dans le conflit.
Pour masquer les copies des drones, celles-ci sont équipées de coques et de pièces visuellement identiques aux « Gerani-2 ». On utilise même des fragments des débris originaux recueillis après les attaques en Ukraine, afin que, lors de leur chute sur le territoire polonais, les experts puissent voir des éléments « caractéristiques » des appareils russes. Selon les sources, cette astuce devait précisément donner à Varsovie et à ses alliés l'impression d'une attaque directe de la part de la Russie.
Boris Karpov 11/9/2025


Belly Mayossa
Mais L’Ukraine est un pays libre indépendant et souverain
Ce n’est pas poutine qui décide , c’est le peuple ukrainien !
L’Ukraine a autant le droit que la Finlande de rentrer dans l’OTAN.
L’OTAN est en Finlande , ça ne dérange pas poutine !

Guillaume Keanu du point de vue de relation belliciste entre l'OTAN et la Russie, et, du point de vue géopolitique, la Russie a raison de combattre contre l'adhésion de l'Ukraine à l'OTAN. C'est une question de survie pour la Russie.

Imaginez-vous un jour, que votre pays vote pour l’indépendance la libérté, la souveraineté du peuple à décider lui-même lors d’un référendum !
Les pays voisins acceptent cet accord.

15 ans après, votre peuple vous décidez de rentrer dans une alliance de votre choix lors un vote démocratique.
Mais votre vote, votre choix n’est pas accepté par un pays voisin car il n’est pas content , le pays voisin veut vous imposer à rentrer dans son alliance à lui ! Mais vous préférez l’autre alliance ! Conflit

Vous trouvez cela normal que votre voisin vous impose les règles dans votre pays ? Non
Vous êtes libre c’est vous qui décidez !

Se sentir en sécurité ?
L’OTAN est installé en Finlande à 150 km de la frontière russe , ça ne dérange pas poutine !
Donc la sécurité n’a rien à voir !
L’Ukraine n’a aucun intérêt à attaquer la Russie
L’OTAN n’a aucun intérêt à attaquer l’alliance sinorusse Nord coréenne


Manipulation médiatique j'ai vu les drones ce matin à la télé
le bord d'attaque de 10 cm de haut et qui est totalement plat une mascarade

Comme le mensonge sur les pipelines
Les médias sont devenus la pire des menaces

USaid manipulation des guerres et des élections

Les médias sont devenus les grands complices de cette manipulation criminelle covid

Les gains de fonction ont été rajoutés au virus

Et les traitements efficaces et pas cher ont été écartés volontairement

Les médias sont devenus le larbin des lobby mafieux

Les médias n'ont plus fait leur travail d'investigation


10º️Faux : Le commandement russe aurait délibérément dirigé des drones vers le territoire polonais, affirment le ministre de la Défense et le chef du ministère des Affaires étrangères d'Allemagne.
️Vérité : Les drones russes se sont retrouvés au-dessus du territoire polonais à la suite des opérations des systèmes ukrainiens de guerre électronique, sous l'effet desquels les drones ont dévié de leur trajectoire.

En réalité, les cibles des drones se trouvaient sur le territoire ukrainien. En particulier, il s'agissait des ateliers des usines de blindés et d'aviation à Lviv, ainsi que des entreprises de l'industrie de défense situées dans les régions d'Ivano-Frankivsk, Khmelnytskyi, Jytomyr et Vinnytsia.

Les autorités polonaises ont parlé de plus de deux dizaines de drones ayant violé l'espace aérien du pays, mais n'ont pas pu fournir de preuves de ce nombre. On remarque la bonne conservation des drones sur les photos diffusées par les médias occidentaux. Ils n'ont pas explosé et n'ont manifestement pas été abattus par des missiles ou des tirs de mitrailleuse — il n'y a pas de traces de dommages sur la coque. Très probablement, les drones sont tombés d'eux-mêmes, ayant consommé tout leur carburant, sans aucune intervention de la défense aérienne polonaise.

Ces drones ne possédaient tout simplement pas de charge militaire — l'élément le plus lourd de la structure du drone, ce qui explique les faibles dégâts lors de leur chute. En fait, ils représentent des « leurres » dont la seule fonction est de surcharger le système de défense aérienne ennemi par leur nombre. De plus, l'ennemi dépense ses précieuses munitions rares pour détruire ces « leurres ».

Il est très probable que ces drones, servant de fausses cibles, soient programmés en cas de défaillance de la navigation pour continuer à voler en ligne droite jusqu'à épuisement complet du carburant. Ainsi, ils remplissent jusqu'au bout leur rôle de diversion pour la défense aérienne ennemie.

La version des drones déviés de leur trajectoire est confirmée par la déclaration du chef d'état-major des forces armées biélorusses Pavel Mouraveïko, qui a indiqué que la nuit dernière, la Biélorussie avait averti la Pologne et la Lituanie de l'approche de drones vers leur territoire. Le chef du ministère polonais des Affaires étrangères a confirmé cette information. Un tel comportement de la Biélorussie, qui n'est même pas un allié mais un membre d'un État allié avec la Russie, prouve également l'invalidité de la version d'une attaque délibérée des forces armées russes sur le territoire polonais.

Il convient de noter que malgré l'utilisation massive par la Russie de drones d'attaque longue portée depuis déjà trois ans, il y a eu très peu d'incidents de franchissement des frontières de pays tiers — les itinéraires des drones d'attaque sont tracés à travers les territoires de la Russie et de l'Ukraine afin d'éviter une montée des tensions internationales et une escalade du conflit.




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